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16 May

Xavier SPATAFORA Mai 2017

Publié par Galerie en champs T

Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
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Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.
Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre,  a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens.  Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport  insulaire.  Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle.   Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique.  Elle prend place.  D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion.    Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe...  Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.

Xavier Spatafora est né à Nouméa en Nouvelle-Calédonie il y a une quarantaine d’années. Il a quitté la Nouvelle-Calédonie à l ‘âge de deux ans et n’en a, consciemment, aucuns souvenirs. Mais aujourd’hui il dit volontiers que le simple fait d’être né sur une île minuscule au milieu du pacifique, de l’autre côté de la Terre, a énormément marqué son enfance et a sans aucun doute compté dans son parcours et sur sa manière d’appréhender le monde et les gens. Comme son nom l’indique, ou du moins, peut le laisser penser, il est d’origine sicilienne et nous retrouvons là encore un rapport insulaire. Malgré tout, c’est sur le sol tunisien que sa communauté sicilienne évolua des années 1830 jusqu’à l’indépendance de la Tunisie en 1956. A ce moment là, face à la possibilité de prendre la nationalité tunisienne ou du retour en Sicile, sa famille a fait le choix de la France et arrive à Marseille en 1957. Tout cela fait parti de son inconscient, de sa mythologie personnelle. Tel d’un archéologue du sensible et du poétique, Xavier Spatafora traduit ses découvertes qui sont les résultats d’une analyse essentiellement basée et construite sur le temps, la sédimentation, l’érosion, la couche et la strate. Sont travail s’inscrit directement dans un registre historique. Analyse du passé, lecture du présent et vision du futur représentent la matière première de son travail. L’œuvre d’art est en soi un territoire, un espace, une zone. Une sorte de Terra incognita virtuelle, proportionnelle à sa potentialité d’expansion poétique. Elle prend place. D’abord physiquement par sa présence, mais aussi intellectuellement et poétiquement dans l’imaginaire, dans l’émotion ou dans la réflexion. Nous sommes, chacun de nous, l’accumulation du temps qui passe... Nous évoluons, instants après instants, dans une éternelle seconde. Nous nous construisons d’expériences, d’actions, de pensées, de mythes et de vide. Des tranches de temps, nos «fragments d’être », notre épaisseur.

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